Tiens, contexte PSG
Un marseillais et un parisien se confrontent lors d'une grande finale des chiffres et des lettres.
Le présentateur demande, pour le dernier tirage, et pour départager les deux concurrents d'une égalité parfaite, de choisir tour à tour une consonne ou une voyelle.
Le parisien commence : "consonne".
Le marseillais, fier comme un coq, annonce "consonne". Jamais un parisien ne lui dictera de prendre autre chose qu'une consonne.
Le parisien, qui ne peut définitivement pas blairer ce marseillais, demande une consonne. Après tout, il a été le premier à demander une consonne, il ne changera pas d'avis.
Le marseillais, irrité, demande à nouveau une consonne. Suivi par le parisien, dans sa lancée, qui demande une consonne également. S'en suit encore le tirage de deux consonne.
Le présentateur n'en peut plus, sept consonnes ont été tirées, aucun mot n'est possible. Il se prépare à annuler la manche en déclarant aux candidats une exceptionnelle quatrième manche pour les départager. C'est alors que le marseillais, tout frétillant, hurle un grand "sept lettres !" qui abasourdit tout le monde sur le plateau.
Laurent Cabrol, un peu étonné que quelqu'un ait pu trouver quelque chose, avec sept consonnes.
Par acquis de conscience, il demande alors au marseillais de donner son mot.
Ce à quoi le marseillais répond :
P S G C D P DElle est connue mais elle m'a toujours fait rire, même si le SMS, cay mal